Au début du XVe siècle Chardavon possédait probablement déjà une chapelle assez grande pour accueillir les villageois à certains jours de fête.
Avait elle pris la suite d'un autre bâtiment plus ancien édifié par les moines venus d'un autre Chardavon situé près de Sisteron, connu depuis le XIe siècle et où les religieux étaient installés dès cette époque. Peut-être, c'est une hypothèse qui expliquerait ce toponyme et justifierait que Seyne ait payé pendant longtemps une redevance à ce monastère éloigné. Mise à mal par les protestants l'église est reconstruite en 1622 et 1635. En 1690 elle est érigée en succursale avec un prêtre résidant, mais mal entretenue elle se dégrade et le clocher s'effondre en 1717 en crevant la voûte. Reconstruite elle sera encore restaurée en 1783.
A découvrir : l’autel en bois de noyer qu’un habitant de Chardavon, bien inspiré, a sauvé des destructions consécutives à la révolution française en le réclamant pour Chardavon alors qu’il était dans la chapelle des Trinitaires située dans l’actuel collège de Seyne .
A découvrir : l’autel en bois de noyer qu’un habitant de Chardavon, bien inspiré, a sauvé des destructions consécutives à la révolution française en le réclamant pour Chardavon alors qu’il était dans la chapelle des Trinitaires située dans l’actuel collège de Seyne .
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